Une approche scientifique pour des arbres en bonne santé
La diminution rapide et la pression de la diversité dans les habitats naturels sont un scénario inquiétant concernant le bien-etre humain. Si notre bien-etre dépend en partie de la qualite du lien a la nature, on peut s’interroger sur les consequences humaines et environnementales qui se traduisent par une exposition directe plus faible a l’environnement naturel.
Quelques recherches scientifiques prouveront que les arbres, comme tous les animaux, ont un impact majeur sur le fonctionnement des écoles et permettent au mieux de renforcer le bien-etre de certains individus a la ville urbaine puisque leur simple présence a proximite d’un immeuble aperuit leurs psychiques et suscitent l’admiration et l’émerveillement a nos villes possedant de grands espaces verts et d’une qualite importante de vegetation sur son territoire.
Les arbres contribuent a lutter contre l’érosion du sol qui survient fequemment en milieu urbain due aux travaux de construction et au passage regulier des pietons et ainsi empêcher d’ecroulement d’eau en cours d’eaux (M1). On est confronté à plusieurs hypothèses proposées, notamment l’hypothèse d’une retardee en ramification axillaire des jeunes rameaux entrainerait d’un organogenese plus forte au bourgeon terminal des rameaux restants, ou ii. Cette densite de ramification pourrait s’exprimer a des degres divers selon le genotype et le contexte pedo-climatique, soit la santification de cellee en avortement ou extinction d’une partie des rameaux (ENCADRE 3).
La perte de biodiversité est également un facteur qui peut affecter le bien-être des occupants de l’environnement urbain. Certains anthropologues affirment que la présence d’arbres et d’autres végétaux dans une ville peut améliorer le bien-être humain en offrant un paysage agréable et naturel, en stimulant les sens, en fournissant de la nourriture et en protégeant la santé des habitants contre la pollution.
La ramification des plantes est l’une des questions les plus importantes en horticulture, car elle joue un rôle clé dans la croissance, la reproduction et la survie des plantes (Pearcy et al., 2005). Cependant, il y a encore beaucoup de recherches à faire sur ce sujet.
Par ailleurs, de nombreuses études ont montré que la ramification des plantes peut également être affectée par leur système racinaire. Ceci est particulièrement vrai pour la ramification des arbres fruitiers.
Pour cette raison, certains chercheurs ont proposé de modifier le système racinaire des espèces d’arbres. Plusieurs approches ont été mises en œuvre, notamment l’introduction de techniques de modification génétique pour favoriser ou inhiber la ramification, ainsi que l’utilisation d’agents chimiques pour influencer le développement de l’arbre.
Une autre approche se concentre sur une vision plus large du processus de ramification et considère l’architecture de la plante comme un facteur important dans la détermination du processus de ramification, car elle est capable d’influencer la formation des feuilles, la croissance des branches, le développement des fleurs, et même la production de fruits ou de graines.
L’étude de la ramification est un domaine interdisciplinaire qui fait appel à l’expertise de scientifiques en physiologie, botanique, écologie et architecture. Les connaissances scientifiques de la physiologie fournissent le contexte nécessaire à la compréhension du processus de ramification, tandis que les connaissances architecturales aident à comprendre comment un arbre se forme et interagit avec son environnement, ainsi que la façon dont il réagit aux différentes conditions environnementales. L’application de ces approches à un éventail plus large d’aspects morphologiques et fonctionnels d’une espèce végétale particulière peut fournir de nouvelles informations sur sa biologie et aider à développer des pratiques agricoles durables.
